
C’est au nom de la Patrie, cette idole dont les pieds baignent dans la boue et le sang, ce « fantôme », comme dit Stirner, cette « nuée » pour employer l’épithète dont les nationalistes qualifient les abstractions qui ne répondent à rien de réel, mais qu’ils oublient d’appliquer à celle qu’ils exploitent, – …