Le libertaire de septembre 2015

La grève

La poésie contemporaine ne chante plus. Elle rampe. Elle a cependant le privilège de la distinction, elle ne fréquente pas les mots mal famés, elle les ignore. Cela arrange bien des esthètes que François Villon ait été un voyou.

On ne prend les mots qu’avec des gants: à «menstruel» on …