Rarement la vie d’un écrivain est à la hauteur de son oeuvre. Panaït Istrati (1884-1935) est l’une de ces exceptions. Et dans ce cercle très fermé, il croisera Joseph Kessel, Victor Serge et Nikos Kazantzaki1, l’auteur de Zorba le Grec, sera cornaqué par Romain Rolland, préfacera en 1935 le premier …