L’ensemble des forces sociales doit donc prendre acte que ce gouvernement, comme les précédents, ne sert que les intérêts du patronat.
Les changements ne viendront que de notre engagement social.
Ainsi les quelques organisations étudiantes ou lycéennes qui ont été reçues chez Valls le 11 avril dernier, peut-être suivies par d’autres, reconnaissent non seulement ce dernier comme interlocuteur, mais prennent en outre la responsabilité de fractionner et casser le mouvement plutôt que de le renforcer, en restant fermes sur le retrait sans autre négociation.
Comme d’habitude, les intérêts des uns et des autres jouent le rôle néfaste de la division.