Nous affirmons notre solidarité avec celles et ceux qui,
au Brésil, refusent que la Coupe du monde de football
soit le prétexte à de graves mesures qui attaquent
directement la population, particulièrement les plus
pauvres et visent spécifiquement celles et ceux qui
résistent et exigent le respect des droits fondamentaux :
- Projet de loi étendant très dangereusement le possible
recours aux mesures « antiterroristes ».
- Interdiction et répression envers les manifestations.
- Campagnes diffamatoires envers celles et ceux qui
s’opposent à la remise en cause des libertés.